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Etudes de médecine : vers la fin de la filière belge

L’accès aux études de santé en Belgique pour les étudiants étrangers continue de se durcir.

Ils sont soixante-deux. Seulement soixante-deux « étudiants non résidents » à avoir passé avec succès l’examen d’entrée aux études de sciences médicales et dentaires en Fédération Wallonie-Bruxelles, selon les derniers chiffres publiés, jeudi 21 septembre, par l’Académie de recherche et d’enseignement supérieur belge. L’instauration d’un concours afin de limiter l’afflux massif d’étudiants étrangers, et principalement français, a démontré son efficacité.

Avant le 1er août, 3 473 candidats résidents et non résidents s’étaient inscrits à cet examen ; 696 ont été reçus, dont 647 en médecine et 49 en dentaire, soit un taux de réussite de 20,04 % pour les deux disciplines cumulées. Une sélectivité importante mais comparable à celle des facultés de médecine françaises, où les taux de réussite au concours de fin de première année commune aux études de santé (Paces) ont varié, en 2017, de 12 % (Aix-Marseille) à 33 % (Besançon), avec une moyenne de 22 %.

Toutefois, le taux de réussite au concours belge dégringole si on considère celui des étudiants non résidents. Sur 471 candidats, seuls cinquante-cinq ont été admis en médecine, soit 11,68 %. Le résultat est encore plus dur en dentaire, où seulement sept candidats non résidents ont été reçus sur 116 postulants (6,03 %).

La mise en place d’un quota

La Belgique tente de limiter le flot d’étudiants étrangers qui viennent se former en Wallonie, particulièrement les Français qui tentent de contourner le numerus clausus qui, chaque année, fixe le nombre de médecins en formation en France. En 2012, le royaume avait déjà mis en place un quota de 30 % d’étudiants étrangers.

Le Parlement belge a adopté un décret instaurant un examen d’entrée pour la rentrée 2017. Cette fois encore, une limitation du nombre d’étudiants non résidents admis a été fixée à 30 %. Le plafond n’a pas été atteint, tant s’en faut. Les admis étrangers en médecine et en dentaire représentent, cette année, seulement 10,56 % des effectifs.

Maggie De Block, ministre fédérale de la santé, a souligné, jeudi 21 septembre, l’« efficacité » du nouvel examen. Selon la ministre, la réduction drastique du nombre d’étudiants admis dans la filière médicale va doper la qualité de la formation qui leur est prodiguée. Elle va probablement aussi faire réfléchir les étudiants français qui y voyaient une opportunité.

Lire aussi :   La Belgique instaure un examen d’entrée pour médecine et dentaire

« La filière belge était moins sélective, de très bonne qualité et permettait aux diplômés d’exercer en France sans contrainte. Mais cet examen met fin à l’eldorado des études de médecine en Belgique,note un observateur de l’ambassade de France en Belgique. 95 % des Français qui se forment en Belgique retournent exercer en France, une fois leurs études achevées. »

Alors que les déserts médicaux progressent en France, la manne de médecins français formés en Belgique pourrait se tarir.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2017/09/22/etudes-de-medecine-vers-la-fin-de-la-filiere-belge_5189973_4401467.html#4e8F29r5xHEMzrom.99

Source : Etudes de médecine : vers la fin de la filière belge

“NEGOS” CNSD SOUS CONDITIONS

Les réseaux, conventionnel libéral et contractuel MFP, négociés sont morts, il nous faut malheureusement en prendre acte.

L’Etat nous a imposé le RA, une quasi extension de la CMU-C aux ACS, après ses lois commerciales nous imposant Santeclair et devis vente.

La CNSD sait donc qu’elle devra tenir compte du RA maintenu en vigueur, même repoussé d’un an dans ses effets, notamment tarifaires, si elle veut pouvoir être entendue par l’UNCAM désormais sous tutelle d’Etat.

Les vrais enjeux sont désormais : sortir du RA et obtenir mieux, pour nous, pour les assurés sociaux et pour l’Etat qui nous pilote désormais.

Malgré le mot maintenu médiatiquement pour sauver les apparences, il ne va plus s’agir de “négociations” mais de discutions. Désormais, il vaut mieux parler de « travaux préparatoires » ou « tentative conventionnelle facultative ».

Les résultats des calculateurs RA commencent à remonter chez les éditeurs de logiciels et la minorité de perdants est un paramètre à intégrer pour comprendre une masse silencieuse qui ne s’exprime pas, ne se mobilise pas.

 NEGO FSDL SANS CONDITIONS  ?

La FSDL, dans son dernier mail à la profession, ne remet plus en cause les “négociations” : il va falloir qu’ils avalent la couleuvre des “plafonds” liés à un ré-équilibrage pour discuter avec l’UNCAM  !

L’industrie dentaire est essentiellement étrangère et peut parfaitement survivre sans la France. En la boycottant, nous renforçons les multinationales étrangères et tuons les quelques petites françaises. Il serait donc inconséquent de boycotter l’ADF alors que la CNSD appelle à sa fréquentation massive comme motivation de la fermeture des cabinets dentaires durant cette période.

NEGOS AVEC LES CCDELI  ?


Les CCDELI ne sont pas conviées aux négociations à venir.

Nous avons tous été informés par la coordination CCDELI54 d’une réunion le 13 prochain à la faculté dentaire, avec pique-nique non syndical le lendemain 14 devant la CPAM de Nancy pour afficher un soutien de toute la filière dentaire et des non syndiqués aux syndicats “négociateurs”.

La CNSD soutient bien entendu toutes les initiatives démontrant le mécontentement de toutes les composantes de la profession, et celle-ci en fait partie.

S’il est difficile d’imaginer, après l’omerta qui a plombé plus de deux mois de protestation étudiante, une action décisive grâce à ce pique-nique sécurité sociale, rien n’est à négliger et la coordination nationale de cette action des non syndiquéspeut montrer à l’Etat que la filière dentaire reste mobilisée. J’écris ici “peut” car cela va dépendre du nombre, partout en France, et du relai médiatique national donné à ces pique-nique.

Marc Aymé

REUNION Mercredi 5 juillet à la Maison Dentaire

REUNION
à la Maison Dentaire
de NANCY

(4ème étage 25/29 rue de Saurupt Nancy)

Mercredi 5 juillet à 20H30 :

Règlement Arbitral : enjeux et actions de la CNSD

  • Venez mesurer la réalité du RA et le travail de la CNSD au niveau national
  • Parler des comités (CCDeLi) qui se veulent asyndicaux . . . leurs actions ?
    De nombreux membres CCDeli seront présents.

TOUS les membres de la filière dentaire sont bienvenus, syndiqués ou non.

 

Les chirurgiens-dentistes ont le moral en berne | Dynamique Dentaire

Selon l’observatoire des professions libérales de santé de CMV Mediforce, les chirurgiens-dentistes semblent porter un regard sombre sur l’avenir. Les contraintes administratives pèseraient lourds sur le quotidien des praticiens qui, pourtant, sont très attachés à leur métier. Les chirurgiens-dentistes, champions du pessimisme Parmi toutes les professions médicales, les chirurgiens-dentistes sont, avec les pharmaciens, les plus radicaux pour percevoir négativement la situation actuelle. En effet, 53% des praticiens interrogés donnent une note entre 1 et 4 quand il s’agit de la décrire. Et la note devient encore plus médiocre au moment d’évoquer l’avenir : 75% de notes de 1 à 4 contre 58% en moyenne pour l’ensemble de l’échantillon de professionnels. 76% des chirurgiens-dentistes sont satisfaits de leur métier Les chirurgiens-dentistes se déclarent pour 76% « très satisfaits » et « satisfaits » de leur travail, se positionnant dans les moyennes des autres professions

Source : Les chirurgiens-dentistes ont le moral en berne | Dynamique Dentaire