Source : Des dents à prix cassés – 6play
ENCORE DU DENTISTE BASHING ! AVANT-PREMIERE – Capital (M6): Entre le prothésiste dentaire et le dentiste, le prix d’une couronne dentaire est multiplié par… cinq ! – VIDEO
Le prothésiste en dénonçant le coef du dentiste oublie juste de parler du sien ! (coût d’une couronne céramique en matériau = 15 euros revendu 150 !)
Source : AVANT-PREMIERE – Capital (M6): Entre le prothésiste dentaire et le dentiste, le prix d’une couronne dentaire est multiplié par… cinq ! – VIDEO
La Garde : l’école privée de formation dentaire dans le collimateur des syndicats – France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur
Le vrai visage des réseaux de soins par F BIZARD
Polémique après l’installation de dentistes formés dans une école privée
Les syndicats de dentistes contestent l’autorisation d’exercer accordée par le Conseil de l’ordre du Var à trois anciens élèves du Clesi, organisme désormais interdit d’enseignement.
Source : Polémique après l’installation de dentistes formés dans une école privée
En Europe, 10 % des diplômés en chirurgie dentaire n’ont jamais soigné un patient
Une enquête réalisée au sein de l’Union européenne a révélé des écarts de formation conséquents pour un diplôme équivalent, notamment concernant l’expérience clinique
Source : En Europe, 10 % des diplômés en chirurgie dentaire n’ont jamais soigné un patient
Le scandale des réseaux de soins révélé au grand jour ! – Frédéric Bizard
Le rapport IGAS destiné au législateur confirme les dérives liberticides et inégalitaires des réseaux de soins et justifient leur abrogation
Source : Le scandale des réseaux de soins révélé au grand jour ! – Frédéric Bizard
Dentistes : le débat est-il déjà plombé ?
Alors que les syndicats, la CPAM et les mutuelles reprennent le chemin des négociations conventionnelles, Émilie Krai-Simon, chirurgien-dentiste installé dans les Vosges, pointe les dents creuses des discussions en cours.VU 2435 FOIS LE 05/10/2017 À 05:01 MIS À JOUR À 06:521RÉAGIR1 / 5Photo HD Émilie Krai-Simon estime que le débat sur les tarifs élude les enjeux de santé. Photo Patrice SAUCOURT REAGIRLes discussions entre les partenaires sont relancées. Depuis le 15 septembre, syndicats de chirurgiens-dentistes, l’assurance maladie et les mutuelles se retrouvent pour reprendre les négociations conventionnelles rompues début 2017 et portant sur la réforme des tarifs. Le Dr Émilie Krai-Simon, chirurgien-dentiste meurthe-et-mosellan dont le cabinet se trouve à Dompaire, dans les Vosges, note que le règlement arbitral élaboré sous le précédent gouvernement a certes été reporté d’un an (N.D.L.R : au 1er janvier 2019).« Pas les salariés des mutuelles »Mais elle qui milite au sein de l’active Cellule de coordination des dentistes libéraux (CCDeLi) relève surtout les dents creuses du débat, comme ses nouveautés. La principale et la promesse faite par Emmanuel Macron, durant la Présidentielle, d’un « reste à charge 0 » sur les prothèses dentaires d’ici 2022. La Sécurité sociale ne prévoyant pas d’augmenter sa quote-part, les mutuelles n’ont pas tardé à réagir via Thierry Beaudet, le président de la puissante Mutualité française. Il estime que sans plafonnements, le coût pour les complémentaires, pour les seules prothèses dentaires, sera d’un milliard d’euros. Hors de question, fait-il savoir, tout en réclamant aux chirurgiens-dentistes d’accepter des efforts. « Nous n’y sommes pas opposés », répond Émilie Krai-Simon. Encore faut-il savoir de quoi l’on parle. D’abord, et c’est une crainte largement partagée dans sa profession, le système du plafonnement « revient à accepter d’être le salarié des mutuelles ». Un autre risque est de voir les plafonnements baisser les années à venir. Deux perspectives inenvisageables pour des spécialistes qui tiennent au caractère libéral de leur profession. Et puis, il s’agit de plafonner quoi ? Les prothèses ? Ces « Amalgames » encadrés par une convention négociée il y a 40 ans ? Et les implants ? Pour ces derniers ils ne sont pas remboursés. « Or, dessus, il peut y avoir des prothèses. De même que sur les appareils dentaires », insiste Émilie Krai-Simon qui a le sentiment qu’on élude le sujet principal : « la santé dentaire ». À l’entendre, « il est possible de réduire le nombre de caries, de déchaussements (N.D.L.R : la Sécurité sociale ne couvre aucune intervention liée aux maladies parodontales) », dit-elle. Comment ? « Par la pose, de manière préventive, de vernis fluorés, de tests salivaires… ». Autant d’actes en amont qui, « comme en Suisse, en Allemagne et dans les pays nordiques », permettraient de déplacer le curseur d’une politique centrée sur la dépense à une réelle politique de santé dentaire.
Alexandre POPLAVSKY
Source : Edition de Nancy Ville | Dentistes : le débat est-il déjà plombé ?
1er octobre : nouveaux plafonds CMU ACS
Les deux arrêtés parus au Journal officiel du 25 avril concernant, l’un, la revalorisation des tarifs des actes CMU-C et, l’autre, le plafonnement pour les bénéficiaires de l’ACS sur la base de ces tarifs, entreront en vigueur le 1er octobre. Concrètement, qu’est-ce que cela change ?
> Pour les bénéficiaires de la CMU-C, rien de nouveau, les actes sont pris en charge et payés en tiers payant par la Caisse du patient au praticien, il n’y a pas de reste à charge.> Pour les bénéficiaires de l’ACS, les explications relatives au tiers-payant intégral, données en 2015, restent d’actualité. Tout comme la fiche pratique éditée par l’Assurance maladie en mai dernier. Une vidéo « Chirurgiens-dentistes : comment facturer le tiers payant intégral ACS ? » est également consultable sur Youtube.A partir du 1er octobre, il faudra appliquer des plafonds qui seront ceux du panier de soins de la CMU-C. Sans prise en charge intégrale, puisque celle-ci varie selon les contrats A, B ou C. Ainsi, selon le type de son contrat, un reste à charge payé directement par le patient au praticien peut exister.Vous trouverez en lien un tableau des actes, prestations et reste à charge avec les montants maximaux applicables du 1er octobre 2017 au 31 décembre 2017. Des actes de prothèse transitoire entrent dans le panier de soins.ATTENTION : La couronne transitoire ne fait pas partie du dispositif. En effet, le boycott de la CHAP (Commission de hiérarchisation des actes professionnels) par les syndicats a empêché la validation de sa prise en charge par l’Assurance maladie. Elle reste à honoraires libres, sans remboursement, ni plafond.Pour sa part, la CNSD étant opposée à cette extension du panier de soins CMU-C aux ACS dans les conditions imposées par Marisol Touraine et, a fortiori, après l’échec des négociations en début d’année, réaffirme son opposition à cette mesure.Pour rappel, la CNSD est le seul syndicat à avoir déposé le 23 juin 2017 devant le Conseil d’État une requête visant à annuler l’arrêté du 19 avril 2017 concernant l’extension du plafond CMU-C aux ACS.Pourquoi ? Tout simplement parce que les plafonds imposés sont irréalistes et sans commune mesure avec le coût réel des actes de médecine bucco-dentaire. Ils sont également souvent inférieurs aux avantages sociaux auxquels peuvent prétendre les bénéficiaires des ACS selon la couverture assurantielle souscrite. L’effort consenti pour les bénéficiaires de la CMU-C ne doit pas être augmenté.La prise en charge médicale bucco-dentaire de nos concitoyens les plus démunis ne peut pas être constamment supportée par les seuls chirurgiens-dentistes.Afin de protester contre cette politique inique, la CNSD a lancé depuis le mois d’avril plusieurs actions de protestation :
- Arrêt du tiers payant pour les bénéficiaires de l’AME et de la CMU-C sans leur carte-Vitale avec des droits à jour, ou bien sans leur carte-Vitale.
La gestion des feuilles de soins papier, de la copie de l’attestation papier, du coût de l’envoi par la poste, du paiement, du pointage des règlements, de la gestion des retours, des réclamations à la suite des rejets, est méconnue et sous-estimée. Cet avantage offert par le chirurgien-dentiste n’est pas reconnu ni rémunéré.- Arrêt des réparations et des rescellements des prothèses, remplacement par des nouvelles.
- Les actes surlignés dans le tableau annexe et décrits ci-dessous ne peuvent pas être réalisés car les tarifications correspondant à l’honoraire maximal facturable par le chirurgien-dentiste au patient bénéficiaire de la CMU-C et de l’ACS sont pour ces actes en dessous du prix de réalisation de la prothèse par le laboratoire de prothèse :
• HBLD364 Pose d’une prothèse amovible de transition à plaque base résine 1 à 3 dents• HBLD476 Pose d’une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 4 dents• HBLD224 Pose d’une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 5 dents• HBLD371 Pose d’une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 6 dents• HBLD123 Pose d’une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 7 dents• HBLD270 Pose d’une prothèse amovible de transition à plaque base résine, comportant 8 dentsL’Assurance maladie a mis en place une équipe administrative dédiée, qui répond aux questions et réclamations liées à la facturation en tiers payant, quels que soient le régime d’affiliation du patient et sa Caisse de rattachement.Pour la contacter :
- par e-mail, à tout moment : dentistes@cesi.ameli.fr
- par téléphone : au 09 72 72 72 71 (service gratuit + prix appel) du lundi au vendredi de 8 h à 17 h et jusqu’à 20 h les mercredis et jeudis.
- Voir l’arrêté relatif à la CMU-C
- Voir l’arrêté relatif à l’ACS
Confédération nationale des syndicats dentaires – Actualité, Infos pratiques, Services
L’IGAS publie son rapport sur le réseaux de soins
- Un impact « difficile à apprécier » sur la qualité des soins
- Des risques de dérive potentiels
- Une incertitude sur le profil des bénéficiaires
- Une restriction de la liberté
- Un encadrement quasi inexistant
En conclusion, l’IGAS recommande donc d’améliorer la connaissance (très lacunaire) des réseaux de soins et de leur impact sur le système de santé, grâce à un dispositif de recueil de données et des études ad hoc : effet prix et effet volume liés aux réseaux, impact sur l’accès aux soins.
Confédération nationale des syndicats dentaires – Actualité, Infos pratiques, Services